La violence sociale. Ils ont voté macron, ps, ou à droite,
ils ont voté pour la violence sociale, celle-là même qui s'exprime sans honte depuis des décennies,
et aujourd'hui, ils récoltent. Ahuris.
On récolte avec eux.
Ne pas voter. Refuser cette mascarade, augmenter l'abstention au point de discréditer les élus de ce système-là,
encore une fois, c'est la seule solution éventuellement non-violente.
Ils ont voté, et maintenant, ils font mine de regretter, ils font mine de comprendre. Ahuris.
ET à la prochaine élection, ces abrutis continueront de voter, pour les mêmes, faisant mine de croire qu'il n'y a pas d'alternative sérieuse.
Ou alors ça doit péter.
Pas impossible, quelques fissurations dans la carapace policière, mais jusqu'où et jusqu'à quand l'obéissance aura le dessus ?
Le courage physique (et les armes, et l'impunité, bref, appelons ça courage par commodité) reste encore au service de la lâcheté morale.
Ostensiblement, mettre des enfants à genoux, mains sur la tête, par dizaines en rang, ça ne les interpelle pas encore assez sur la dérive totale de leur comportement. Faire péter des têtes, des visages, des ventres, à coup de flashballs, ça ne leur fait pas peur non plus. Gazer et charger des élèves qui tentent juste de sortir d'un établissement scolaire où on les a coincé, ils trouvent cela normal.
Pensent-ils que ces enfants oublieront ? Qu'est-ce qui leur permet de s'en moquer ?
Et puis après, ces mêmes flics viendront pleurnicher, regrettant que la confiance est rompue ...