InfoMars.fr

https://www.radiofra...prisons-5436660

Quid des autres prisons?

https://www.radiofra...e-tefal-9852908

La censure en France, non, ça n'existe pas...

Le chroniqueur Guillaume Meurice voit la publication de son livre suspendue par le groupe Editis

 

« Le Fin Mot de l’histoire de France en 200 expressions », dictionnaire humoristique, égratignait Vincent Bolloré, premier actionnaire de Vivendi, maison mère d’Editis. Le directeur des éditions Le Robert invoque des « risques de contentieux »

https://www.lemonde....41497_3234.html

Il peut aussi s'auto-éditer, il ne rencontrera aucun problème de parution, et vérifiera qu'il ne s'agit pas ici de censure, mais de choix d'éditeur.

Il pourrait ainsi assumer les suites judiciaires envers les gens - immondes, infréquentables, ça ne fait aucun débat - qu'il vise dans ses quelques et menues  lignes, dont on peut reconnaître qu'elles sont loin d'être les plus judicieuses qu'il ait écrites (pour celles dont j'ai connaissance), et dont on peut craindre également que judiciairement, elle ne fassent pas un pli.

J'aime bien G.Meurice, mais là je ne le trouve pas de très bonne foi, ni très utile à qui que ce soit : s'en prendre à des ordures ne justifie pas tant de facilités.

Pendant ce temps, sur France Culture, chaque semaine, 1h de moins de sciences, 1h de moins de géopolitique, était-ce bien le moment ?

Par un scientifique lui-même, il reste une demi-heure d'archéologie par semaine ... (excellente ceci-dit)

https://www.radiofra...ellules-2484184

C'est certain que les places de détenus sont systématiquement insuffisantes en France, cela fait des décennies, et je pense qu'au fond, c'est culturel, nous sommes sur ce point encore arriérés : la privation de liberté ne suffit pas, il faut en plus l'humiliation et la souffrance. Et si ces sentiments "naturels" ont leur place dans le ressenti, pourquoi pas?, ils ne devraient pas être pris en compte dans nos décisions, sauf éventuellement de façon anecdotique, c'est à dire le moins possible, en ayant lutté contre.

Il faudrait aussi mettre en regard l'évolution du nombre de places de détenus avec l'augmentation générale de la population - et par ailleurs avec son comportement. C'est mathématique pour le premier point. Sur le second, à titre personnel, je regrette même de voir la violence si peu punie, et le nombre de détenus pourrait très bien être supérieur si toutes étaient un peu moins déniées ou banalisées - une terrible injustice de classe s'ajoute à cela, aux effets bien pervers par ailleurs *.

Une autre certitude : certaines peines gagneraient à disparaître au plus vite, c'est une question de décence autant démocratique que morale, je pense aux peines en rapport avec le cannabis.

Un autre reproche qui peut être fait aux détenus par la société, c'est qu'ils coûtent, non comptant qu'ils fasse chier le monde. Il faut absolument se garder de toute approche pénitencière de la prison, ce serait infâme. Faire participer autant que possible les détenus à gérer, et pourquoi pas financer leur incarcération, ce serait bien, même pour eux, mais dans une société gangrenée par le chômage et l'individualisme, ça n'a aucune chance de se concrétiser.

L'incarcération à domicile est une réponse à un peu tout cela à la fois. Cela coûte moins cher à la collectivité, libère de fait une place de prison, et replace un peu la privation de liberté devant la tentation de l'humiliation et des violences non nécessaires, donc indésirables.

Son défaut, c'est d'être sans doute plus facile à utiliser de façon discrète et discrétionnaire. Cela peut devenir une arme politique, on en a déjà vu quelques exemples malheureusement.

Et il va de soit qu'elle ne peut convenir sans risque à tous les détenus.

(*): les exemples fourmillent d'allégeances à des mafias (criminelles, religieuses) qui "offrent" un service de justice là où l’État défaille - sous la forme d'une justice criminelle ou publique (aux objectifs étatiques), parfois expéditive, et il me semble toujours sans appel.

Enfin, pour conclure mon petit propos sur les prisons, on peut aussi replacer cela dans un contexte plus général, où tout le service public et le bien commun se disloque: les établissements scolaires, universitaires, l’hôpital, la justice, la police sans doute aussi, l'état des ouvrages, et de ce que l'on apprend aujourd'hui, la défense également...

Sur un autre sujet :
 

 

Le Nutri-Score est-il un indicateur fiable ?

 

De plus en plus d’emballages de produits alimentaires affichent fièrement la lettre A du système nutritionnel Nutri-Score. Et paradoxalement, ce n’est pas forcément une bonne nouvelle.

 

https://www.radiofra...re-2022-7443014

L'enfer est pavé de bonnes intentions.

ça dénote une tendance

La délinquance en col blanc en hausse de 28 % depuis 2016 en France

La corruption a augmenté de 46 % sur la même période

https://www.20minute...uis-2016-france

Irène Frachon, médecin en alerte

 

Irène Frachon, pneumologue, lanceuse d’alerte dans l’affaire du médiator nous raconte cette affaire aux aspects de polar qui a percuté sa vie dès les années 1990.

 

La Science, CQFD, 1h sur France Culture

 

https://www.radiofra...frachon-1445205

La délinquance en col blanc, il en est question,

le terme même "en col blanc" incrimine la justice française, totalement abjecte à ses heures.

Et en l'occurrence, totalement irresponsable.
 

 

Antilles : le scandale sanitaire du chlordécone classé sans suite

 

Il n’y aura pas de procès dans l'affaire du chlordécone, pesticide accusé d'avoir empoisonné de nombreuses personnes en Martinique et en Guadeloupe. Le non-lieu ne passe pas auprès des plaignants, qui vont faire appel de la décision.

 

 

https://www.francetv...te_5585796.html

Mais auprès de qui cette décision peut-elle passer ?

https://www.radiofra...r-libre-2593286

https://japanization...ter-les-ventes/

 

 

Antilles : le scandale sanitaire du chlordécone classé sans suite

 

Il n’y aura pas de procès dans l'affaire du chlordécone, pesticide accusé d'avoir empoisonné de nombreuses personnes en Martinique et en Guadeloupe. Le non-lieu ne passe pas auprès des plaignants, qui vont faire appel de la décision.

 

 

 

https://www.francetv...te_5585796.html

 

Mais auprès de qui cette décision peut-elle passer ?

 

Un malheur ne venant jamais seul, ce scandale sanitaire est en passe désormais de se doubler d'un scandale judiciaire,

et au final, sociétal. Voilà qui donne espoir :

 

Chlordécone : un scandale sanitaire

 

Un non-lieu a récemment été prononcé dans le cadre de l’enquête sur l’empoisonnement massif des Antilles au chlordécone de 1972 à 1993. Comment expliquer cette décision alors que de nombreuses études menées par les scientifiques avaient alerté dès les années 60 sur les risques notamment de cancer et de troubles neurologiques ? Les magistrats évoquent l’impossibilité d’établir « le lien de causalité certain exigé par le droit pénal » entre le pesticide et les atteintes à la santé. Les certitudes ne pouvant pas toujours être démontrées en science, qu'en est-il du principe de prévention ?

 

Retour sur la genèse de ce scandale avec l’épidémiologue Luc Multigner.

 

 

Réalisation : Amanda Breuer Rivera

Production : Universcience

Année de production : 2023

Durée : 8min38

Accessibilité : sous-titres français

 

https://leblob.fr/vi...ndale-sanitaire

Pourvu que comme lui, d'autres sortent du bois avant l'appel.

Le coup d'avance.

L'enfer est pavé de bonnes intentions,

nous devrions plus nous méfier de nous-mêmes,

ainsi que des autres,

et reprendre au moins un coup d'avance.

Ce n'est même plus de la prudence, mais de la lucidité.

C'est vrai: si nous étions propres, nous aurions moins de scrupules à faire du ménage...

Gardons bien en tête ce que les profiteurs et maîtres d'hier et d'aujourd'hui, adeptes de la real politique et du mélange des genres nous doivent de bonheur et de coudées franches.

Malheureusement, eux possèdent bien un coup d'avance.

https://mrmondialisa...rsion-marianne/

Elle va avoir le bonnet d'âne

Nous sommes à un tournant.

Un scandale qui passe comme une lettre à la poste

https://www.radiofra...chiappa-6775520

Uber Files : ce que dit le rapport de la commission d’enquête parlementaire

La commission d’enquête parlementaire consacrée aux Uber Files confirme les informations révélées en juillet 2022 par la cellule investigation de Radio France. Elle dénonce une proximité étroite entre Uber et Emmanuel Macron qui s’est poursuivie après son élection à la présidence de la République.

 

https://www.francetv...re_5955548.html

 

Pas facile de conduire une commission d’enquête lorsque les deux personnes qui la dirigent appartiennent à des partis opposés et ont des intérêts et des points de vue divergents. Cette difficulté apparaît en filigrane dans le rapport parlementaire consacré aux Uber Files, une vaste fuite de documents révélée par la cellule investigation de Radio France avec le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) et le Guardian en juillet 2022. Elle montrait à quel point Emmanuel Macron, alors qu’il dirigeait le ministère de l’Économie, a œuvré pour favoriser le développement d’Uber en France.

Ce n'est pas "une difficulté", c'est de l'obstruction démocratique et judiciaire doublée d'une corruption de premier choix.

Et cela n’apparaît pas "en filigrane", ce scandale est relevé, cité, et on peut lui attribuer un fusible : le député Renaissance Benjamin Haddad, un proche du président de la République :
 

Cette commission, initiée par la France Insoumise (LFI), a été présidée par le député Renaissance Benjamin Haddad, un proche du président de la République, tandis que sa rapporteure, Danielle Simonnet, est membre de LFI. D’où une dissonance qui apparaît dès l’introduction de son rapport : "La rapporteure regrette que la commission d’enquête n’ait pu auditionner aucun des anciens membres du ministre de l’Économie de l’époque, peut-on lire, puisque le bureau de la commission d’enquête s’y est systématiquement opposé."

 

 

Ce n'est pas "une dissonance", c'est de l'obstruction démocratique et judiciaire doublée d'une corruption de premier choix.

Parallèlement, on s'en prend à Anticor, à la Ligue des Droits de l'Homme, etc.

On se demande bien à quoi des millions d'imbéciles ont prétendu faire barrage. A un système corrompu et oligarchique ?

Combien revoteront pour un traître comme haddad comme si rien ne s'était passé ?

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Ces dirigeants, qui ont cessé d'être les miens, le savent bien : un électeur lambda, plutôt que d'exprimer le regret d'avoir soutenu un candidat, changera son discours et ses "principes" pour coller au discours de son maître et justifier son vote.

C'est ça qui nous tue.

Mort d'Adama Traoré : "Les magistrats ont fait preuve d'une partialité énorme et ont tout simplement violé la loi", dénonce l'avocat de la famille

 

Dans l'affaire Adama Traoré, la justice a prononcé un non-lieu pour les trois gendarmes impliqués. L'avocat de la famille de la victime estime que les juges d'instruction protègent les gendarmes. "Ils ont refusé d'effectuer les éléments d'enquête élémentaires", précise Yassine Bouzrou.

 

https://www.francetv...le_6037946.html

Comment est-ce possible en France ? Que font les magistrats dans leur ensemble quand ils assistent à ça ?

Et si l'appel annule ce jugement et va à son encontre, ce qui serait la moindre des choses, comment sera perçu le premier jugement ? Une simple erreur judiciaire ou un dévoiement coupable de la justice ?

Des magistrats auteurs d'un tel jugement peuvent-ils avoir à en rendre des comptes ?

https://www.francetv...ce_6068913.html

Face à face ? Moi je les vois plutôt côte à côte.

Ils se sont accordés sur certains sujets, comme l’énergie, l’industrie et le nucléaire.

 

Des détails.

J'avoue, ne supportant ni l'un ni l'autre, je n'ai pas regardé la vidéo.

Qui veut encore être enseignant ?

 

Les enseignants manquent à l'appel : cette rentrée, comme celle de 2022, est marquée par un grand nombre de postes à pourvoir dans l'enseignement. Comment expliquer cette désaffection ? Entre conditions matérielles et considération sociale, retour sur une profession qui attire de moins en moins.

Avec Géraldine Farges Sociologue, maîtresse de conférences en sciences de l'éducation et de la formation à l'Université de Bourgogne Franche-Comté

 

Durée : 8 minutes.

 

https://www.radiofra...eignant-9365072

Salaires, bien entendu.

Demandes croissantes d'actions en tout genre, lieu d'exercice généralement non choisi, horaires et vacances imposées ...

Mais rien, rien sur ce qu'il se passe ou ne se passe pas aujourd'hui :

dans les établissements scolaires,

dans les salles de classe,

en dehors, en particulier à la maison,

rien sur les relations profs élèves, profs parents, profs directions,

rien sur les aberrations pédagogiques, qui se succèdent en mode fuite en avant,

rien sur les attentes minimales et la frustration de voir son travail vain par absence du travail de l'élève,

rien sur le manque de profs, d'encadrement, de suivi ou d'aide aux élèves, etc.

Rien sur ce que peut ressentir un prof qui voit un système jouer contre ses propres enfants.

Cela me rappelle ceci :
 

 

Monsieur, vous êtes là pour nous apprendre.

 

Édifiant.

Les vraies raisons sont escamotées.

Pire, on en trouve une toute faite, de plus en plus : les profs sont nuls, ils sont mal formés.

Étude après étude, évaluation internationale après évaluation internationale, le constat reste le même : le niveau des élèves français en mathématiques s'est écroulé par rapport aux autres pays développés. Cette dégradation est aussi révélatrice d'inégalités sociale et de genre, très marquées dans cet apprentissage.

 

https://www.science-...ths-en-france-2

Que ressent un  prof de maths qui constate le niveau des français en maths, et que ressent-il quand il lit ou entend M.Villani (pour lequel j'ai bien du respect au demeurant, je le trouve brillant la plupart du temps) :

Meilleure formation (initiale et continue) des professeurs des écoles. Amélioration de leur niveau en maths ;
Apprentissage des maths, dès le plus jeune âge, en se fondant sur le triptyque “manipulation, verbalisation, abstraction” ;
Renforcement des échanges entre mathématiques et autres disciplines. Priorisation des projets interdisciplinaires.

 

Mais rien sur le travail à la maison, ou en étude, rien sur l'écrit, la lecture, les manuels, rien sur les attentes, la persévérance, la remédiation,

rien sur la régression de la valorisation des savoirs (et savoirs-faire),

et de celle des enseignants,

Cédric, cela mérite une réponse :

entre 2008 et 2020, le nombre annuel d'enseignants démissionnaires a triplé. Ce ne sont pas uniquement des profs de maths.

Idem pour les difficultés de recrutement.

Idem pour le ressenti des enseignants.

Il faut chercher ailleurs les raisons principales de cette autre fuite, celle des vocations.

Alors prenez votre courage à deux mains, allez en collège, en lycée, pas forcément général, en CFA, ou même à l'école primaire,

allez-y autrement qu'en y faisant un passage éclair,

ou en interrogeant ceux qui veulent bien s'exprimer, ceux qui espèrent encore, ceux qui se desservent à coup de déni ou d'optimisme koué,

allez y enseigner 5 ans ou 10 ans dans les conditions réelles,

dans un territoire représentatif, pas nécessairement réputé difficile, mais représentatif, déjà,

allez-y, imposez-vous de supporter absurdité, frustration, gestion permanente de conflits et de violence,

ingérences en tout genre,

patinage pédagogique faute de pré-requis évidents, et pas des plus inaccessibles,

au quotidien, pendant 5 ans ou 10 ans,

observez bien le regard des élèves sur vous, le regard de leurs parents, celui de l'institution, celui même de la société,

et regardez bien pour quel résultat,

on en reparle après.

PISA : baisse en maths, aux racines du problème
 
Après la publication mardi des résultats de l'étude Pisa, menée par l'OCDE, un constat s'impose : la France enregistre une "baisse historique" du niveau en mathématiques. Comment enrayer cette chute ? Deux grands mathématiciens français proposent des pistes de réflexion.
 
Hugo Dominil-Copin Mathématicien français, lauréat de la Médaille Fields en 2022
Laure Saint-Raymond Professeure à l’Institut des Hautes Etudes en Sciences et membre de l’Académie des Sciences

 
https://www.radiofra...robleme-4904101
 
Baisse en maths, aux racines du problème : 35 minutes sans prononcer le mot travail ? A la manière d'un "ni oui ni non", c'était semble-t-il le grand jeu du jour.
 
Hugo Dominil-Copin a perdu,
 
il a craqué, mais il s'est bien battu !
 
Il a prononcé le mot travail :

• "[L'élève] va continuer à travailler dessus", dans un contexte qui allait de soi mais sans préciser ni où, ni quand ... ou à la place de quoi.
• Et une autre seconde d'inattention, un relâchement coupable ... mais le mot travail est alors utilisé dans un contexte totalement à l'opposé de celui de l'éducation et de l'instruction des enfants (le travail de créativité des chercheurs, c'est dire, dans un domaine où pour le coup la France excelle).

C'est donc une demi-défaite, le mot "travail" comme principale composante déclinante de l'apprentissage actuel n'est pas utilisé.
 
 
Sinon, tout y est passé :
 
exercice,

entraînement,

persévérance,

gammes,

essais, erreurs,
en réitérant réitérant réitérant,
changer de logiciel d'apprentissage,
similarité avec le sport ou la musique, où il est alors évident qu'il faut répéter un geste avant de le maîtriser,
faire grandir,
on apprend, ça prend tu temps,
on a jamais fini d'en faire le tour, il y a toutes ses faces,
chemin de doute, esthétique et art,
émotion et fierté, il faut avoir galéré pour ça,

etc etc etc.
 
 
Patience, envie, curiosité, comme le souligne Laure Saint-Raymond, bien entendu, mais c'est consubstantiel à du travail actif, non ?
 
 
Belle rectification de H.D-C concernant la stupide mythification de l'élève moyen qui se révèle plus tard sans rien changer, comme ça aurait été son cas (ou plus connu encore, celui d'Einstein). Ouf !
 
La béatitude, c'est formidable, quand ça ne fait manquer l'essentiel. Les remarques de L.St-R concernant les notes sont navrantes, à ce niveau ce n'est même plus de la caricature, c'est du déni. Quelques minutes avant, d'ailleurs, H.D-C venait d'expliquer l'étincelle de sa réussite : une initiale mauvaise note ... et la réaction qu'il a eu !
 
 
 
 
Bon, je rigole, mais l'émission a permis de souligner l'aspect politique et moral de l'égalité et la qualité de l'enseignement, en maths en particulier, par exemple pour bien appréhender les aspects économiques des rapports sociaux.
Elle rappelle également l'importance de la culture scientifique, mal considérée, mal-référencée, sous-estimée, omise: elle ne manque pourtant pas d'importance, à l'évidence. J'ajoute : c'est également la moins partagée...
Les deux intervenants sont clairement des gens positifs, et au delà de leur modestie bien palpable, ce sont sans doute de très bons pédagogues à haut niveau, comme ostensiblement de très bons vulgarisateurs.
 
 
La semaine prochaine, Michèle Mouton et Alain Prost pour trouver des pistes d'amélioration de la sécurité routière et des auto-écoles. Les mots interdits seront "vitesse", "champignon" et "alcool".

J'égratignais il y a peu C.Villani, à juste titre, mais j'avais pris la peine d'expliciter a contrario et très clairement à qui on avait à faire à mes yeux.

(pour lequel j'ai bien du respect au demeurant, je le trouve brillant la plupart du temps)

Démonstration :

LES DÉJEUNERS DU JAMAIS DIT | CÉDRIC VILLANI

https://www.youtube....h?v=HcrhG_7cspg
 

 

"J'ai l'impression d'abandonner le village" : Maëlle va fermer son épicerie-bar, victime du coût de l'énergie

 

[...]

 

"Je suis passée de 6000€ annuels à 9187€. C'était plus possible de continuer comme ça." Elle a dû se résoudre à fermer le 31 décembre, pour de bon.

 

[...]

 

À l'épicerie, on croise Valérie venue faire des petites courses "comme tous les jours". Pain, crevettes, macarons et journal sous le bras, elle confesse être déçue : "ça va me changer mes habitudes. (...) Je travaille à la maison alors je viens chercher le pain tous les jours. Maintenant, il va falloir que je prenne la voiture, que je descende en ville."

 

 

https://france3-regi...ie-2895995.html

3000 euros par an,

ça sera vite atteint par les déplacements quotidiens motorisés de son ancienne clientèle et de leurs effets.

Et quand bien même ... compte-tenu du service rendu, commercial,

mais aussi social, environnemental, et sans doute aussi un peu médical, tout le monde ne se déplaçant pas sans difficultés ni appréhension, surtout sans véhicule ... ne serait-il pas utile, bon et raisonnable que cette ardoise soit prise en charge ?

Les villages ne pourraient-ils pas bénéficier d'un crédit énergie de l'État qui permette d'installer une boulangerie, ou une alimentation générale ?

Ou de tarifs subventionnés pour accéder à ceux de plus grandes distributions, permettant de dégager le bénéfice nécessaire à cet acquittement énergétique ?

Tout le monde est perdant, et les considérations environnementales rendent tout cela encore plus navrant.

On marche sur la tête.

Pour les riches, 200 000 animaux sauvages tués et empaillés chaque année

https://reporterre.n...es-chaque-annee