Présentation rapide et très peu technique (pour les Nuls, par un Nul) de la distribution dans une machine virtuelle (VM) ...
BunsenLabs Linux is a distribution offering a light-weight and easily customizable Openbox desktop. The current release is Hydrogen1, derived from Debian Jessie. The project is a community continuation of CrunchBang Linux.
Defining features:
The distribution consists of configuration and resource packages installed on top of Debian. There are no changes to the way the Debian base system is administrated.
Pre-configured Openbox window manager with tint2 panel and conky system monitor
Assortment of harmonising GTK2/3 themes, wallpapers and conky configurations
Various configuration and application utilities to maintain this system
Additional desktop-, multimedia- and hardware-related packages come pre-installed to offer a better “out-of-the-box” experience.
Site officiel: https://www.bunsenlabs.org/
Configuration minimale requise:
RAM (minimum) 256Mo
RAM (recommandée) 1Go
Disque dur 10Go
Attention: Cela fait de Bunsen une distribution intéressante car plutôt légère. Il faudra vérifier cela en testant sa compatibilité matérielle avec les petites configs, ou les plus anciennes.
Sommaire:
Installation (juste en dessous)
Premier démarrage, finalisation de l'installation ...
Contenu et quelques-uns des menus
Francisation plus complète
Installation d'une application
Occupation du disque/ Utilisation de la mémoire
Installation
Cette première partie traite de l'installation de Busen uniquement.
Dès la première capture d'écran, on sait que l'on est parti pour une installation graphique à la Debian. C'est normal, un peu frustre graphiquement, mais très compréhensible, et très bien fait. Vous verrez par la suite que quelques fonctionnalités de partitionnement sont aussi inattendues (pour moi) que bienvenues. L'installation est rapide, permet de configurer pas mal de choses, et au final se passe sans soucis.
On boote sur un DVD ou une clé USB, et on opte pour une installation. Rien n'empêche de tester le système en Live auparavant.
La langue française, la france et le clavier français sur les trois captures suivantes:
Un nom à la machine:
Un domaine facultatif pour le réseau éventuel ...
Un nom d'utilisateur, une autre suit pour le mot de passe, un rappel en cas de mot de passe vide, bref, rien que de très classique pour les deux captures suivantes:
Le moment du partitionnement est arrivé. Par défaut n'est pas mon choix, j'opte pour le partitionnement manuel. Nous verrons bientôt quelques bonnes surprises ...
Nous voilà sur le fenêtre suivante, on descend jusqu'au disque (unique ici) disponible pour l'installation, et on continue ... un petit avertissement de bon aloi avant de lancer les hostilités ...
Cette fois, je descends sélectionner l'espace libre disponible, je continue et ...
... et j'ai le choix entre deux possibilités de partitionnement. J'aurais pu opter pour un partitionnement à la main, en créant moi-même mes partitions, mais l'option de partitionnement automatique attire mon attention et pique ma curiosité ... pour ce test, on y va comme ça.
Nouvelle bonne surprise: là encore, j'ai le choix entre trois approches, 3 classiques, c'est vraiment bien foutu leur truc ... j'opte pour la dernière proposition: /, /home, /var et /temp.
Avant de lancer l'opération, nous avons le droit à un récapitulatif de ce qui va être opéré: l'espace libre est réparti. cela me convient, on lance l'opération ...
Une ultime confirmation de bon aloi avant de lancer l'opération ... oui, non, pour moi c'est oui.
Et c'est parti pour l'installation du système ...
La machine étant connectée à internet, les mises à jour et autres téléchargements de paquets se fait tout de suite ...
Oui ! Sur le secteur d'amorçage, c'est un simple boot pour un simple test ...
Encore l'option simple ici, notez toutefois que vous pouvez mettre le secteur sur une clé USB, pour ceux qui veulent.
Terminé !
je reboote ...