Contacté lundi par Le Monde, l’Elysée plaide le malentendu et précise la parole du président : «Le président n’a jamais dit que le chlordécone n’était pas cancérigène. Quand il dit : "Il ne faut pas dire que c’est cancérigène", c’est une façon de dire : "On ne peut pas se contenter de dire que c’est cancérigène, il faut aussi agir".»
Ça devient une marque de fabrique de ce gouvernement: la ré-écriture de l'histoire.
Cf par exemple les 4 blessés de tirs d'APE selon Castaner.