Sainte-Soline : empêcher l’accès à la mégabassine, quel qu’en soit le coût humain
Première synthèse – Observations des 24-26 mars 2023 à Sainte-Soline
Communiqué de l’interobservatoires, dont la LDH est membre
https://www.ldh-fran...-sainte-soline/
Je n'en cite rien, le texte est très court, pas une seule phrase n'est indifférente, il faut le lire.
--------------------------------------
Face au gouvernement, à sa police politique, à son ultra-violence,
que nous reste-t-il pour faire valoir le bien commun, la justice et la durabilité ?
Une violence plus grande encore ?
Voilà la seule alternative, la seule issue, à ce que les pré-cités considèrent comme un problème social,
quand il s'agit d'existence.
Voilà ce que ces visionnaires imposent au peuple de la non-violence et du bien commun. Et à sa jeunesse.
C'est une honte, une de plus, tellement évidente, tellement évitable,
j'espère qu'elle vaudra à leurs responsables de vraies difficultés à vivre dignement. Au moins aux yeux de leurs enfants.
Notre rejet grandissant de ces comportements, de leur promoteurs et de leurs acteurs devient chaque jour plus légitime,
et il arrivera, forcément,
tôt ou tard,
tôt ou trop tard,
le moment où ils représenteront un tel danger pour les autres qu'ils devront s'effacer, quoi qu'ils en pensent.
--------------------------------------
C'est la même chose au niveau international, avec des problématiques encore plus nombreuses,
de la pullulation,
des failles spatio-temporelles et culturelles, et pas des moindres,
des prosélytes infects et intraitables, sous perfusion totale et permanente, perfusion indue dont ils ne rejettent rien sauf son humanisme, lui préférant accaparation, cynisme et duplicité, sales mots d'ordre de leur piteux projet d'existence,
une banalisation abjecte de la violence, de la vie humaine (ou non-humaine),
une propension maladive à tout polluer, détruire, à tout réduire en poudre,
des villes, des infrastructures,
les existences,
la culture,
la nature.
--------------------------------------
Nous ne referons pas le passé,
nous n'en sommes pas responsables,
il mériterait d'ailleurs d'être dépoussiéré pour apparaître dans sa tragique globalité,
dans un mouvement libérateur pour tout le monde,
tant il est vrai qu'une partie de la vérité peut faire mentir la vérité dans son ensemble.
Surtout, nous n'avons pas à hypothéquer notre présent et notre futur sur la base d'intemporelles, foireuses et bien oublieuses rengaines.
--------------------------------------
Nous ne pouvons pas refaire le passé,
mais il s'agit tout de même de profiter de notre présent à autre chose que le combat ou la guerre,
autant que possible et autant que possible uniquement,
ainsi que de préparer l'avenir, et celui des générations futures, au moins nos enfants ...
Le mot de la fin, concernant la France en tout cas, à Catherine Duthu, dans la conclusion à sa revue de presse internationale du jour, à partir de 4min38s :
https://www.radiofra...rs-2023-2997310
Il est dommage que ce passage manque à la transcription proposée sur la page du site, il faut donc l'écouter.
--------------------------------------
Des barrières à bulles qui retiennent efficacement la pollution des rivières
Une méthode testée aux Pays-Bas par une start-up permet d'intercepter une très grande partie des détritus avant qu'ils n'atteignent la mer.
https://www.sciences...rivieres_169698
Pas con.
Si ces bulles sont générées par le courant du cours d'eau lui-même, ça devient vraiment pas mal du tout.
--------------------------------------
Bienvenue dans l’anthropocène
Pour LSD, Tao Favre interroge cette nouvelle ère géologique, ce temps nouveau, l'âge des humains aux résonnances eschatologiques : l’anthropocène.
4 épisodes d'une petite heure.
https://www.radiofra...-l-anthropocene
Je n'ai écouté pour l'instant que les deux premiers épisodes,
beaucoup d'intervenants, tous intéressants,
beaucoup que l'on connaît déjà, Gilles Bœuf, Philippe Descola, Marc-André Selosse, ...
un que j'ai découvert, et dont je recommande très vivement d'écouter l'intervention à la fin de l'épisode 2 : Vincent Bretagnolle.