Eh bien voilà… Puisque le DMP n'a pas la cote, nous allons l'imposer et vendre vos données médicales pour que nous puissions manger encore plus de homards et boire des boutanges à 500 boules: https://www.lemonde....89851_3224.html
Tous les patients auront leur propre espace numérique de santé d’ici au 1er janvier 2022, pour accéder notamment à leur dossier médical partagé (sorte de carnet de santé), à des « applications » ou « informations de santé référencées ».
Une « plate-forme des données de santé » remplacera l’actuel Institut des données de santé. L’accès à ces données (1,2 milliard de feuilles de soin par an, 500 millions d’actes médicaux, onze millions d’hospitalisations…) sera élargi, et leur champ étendu aux données cliniques recueillies par exemple par les médecins libéraux, ainsi qu’aux « données à caractère personnel issues d’enquêtes ».
Le gouvernement entend « multiplier les possibilités d’exploitation » de ces informations, notamment pour la recherche ou le « développement des méthodes d’intelligence artificielle », en promettant « un haut niveau de protection de la vie privée ».
De plus quand ils disent :
Le recrutement de professionnels étrangers facilité
Indispensables au fonctionnement de nombreux hôpitaux publics, mais en théorie interdits d’exercice, certains médecins, pharmaciens, dentistes et sages-femmes diplômés hors de l’Union européenne (Padhue) pourront voir leur situation régularisée d’ici à la fin 2021 après étude de leur dossier. Les « modalités de recrutement » des Padhue qui « exerceront à l’avenir en France » seront rénovées, prévoit le texte.
Cela voudrait-il dire que les marabouts, sorciers, coupeurs de feu et autres homéopathes auront le droit d'exercer en France ?
"Nous sommes des nains juchés sur des épaules de géants. Nous voyons ainsi davantage et plus loin qu'eux, non parce que notre vue est plus aiguë ou notre taille plus haute, mais parce qu'ils nous portent en l'air et nous élèvent de toute leur hauteur gigantesque." (Bernard de Chartres, XIIe siècle)